Rakel est comme son Art. Belle et rebelle, rock et glamour, jonglant avec humour et autodérision autant qu’avec sensualité et modernité. Aujourd’hui reconnue par ses pairs aux vues de ses nombreuses œuvres devenues emblématiques dans le microcosme si convoité qu’est l’Art Contemporain, l’artiste française ne cesse de se réinventer.
Tout commence dans les années 70, à l’aube de son enfance, Rakel née et grandit à Paris. Très vite, une fibre artistique émane d’elle et se dévoile notamment à travers des études de styliste-modéliste dans la prestigieuse école parisienne Esmod. La vie suit son cours, et devenue femme elle devient mère. Cependant, toujours forte et fidèle à son envie de s’exprimer, la brune au tempérament de feu trouve refuge dans la peinture scindant son temps entre sa vie familiale et son alter-ego artistique.
Dûment inspirée par les icônes du 7ème Art et de la Mode comme Paul Newman, Marilyn Monroe, Al Pacino, Brigitte Bardot, Sophia Loren, Gainsbourg ou encore Kate Moss, mais aussi (et surtout !) du Pop-Art et du pionnier du mouvement allias Andy Warhol, Rakel décide de les immortaliser à sa façon, avec grâce et délicatesse mais toujours avec une dose d’optimisme et de gaité qu’elle revendique. Son but ? Faire naitre une émotion, une envie ou une nostalgie à ceux qui sauront la capter… Prônant la « positive attitude », la subtilité de trouver de parfaites imperfections, toujours en misant sur des couleurs vives et joyeuses, l’artiste développe ses peintures qui oscillent entre Les Cheyennes, les Malab’Art et les Rebelles et diffuse son travail avec parcimonie par le biais de pièces uniques mais aussi auprès de personnalités telles que Claude Lelouch, Amir, Jean-Paul Belmondo, Phillipe Starck, etc..
« Mon Rebel’Art est une manière de fusionner le Pop-Art et le Street-Art, qu’on retrouve a travers les cheyennes, les bulles de chewing-gum qui dégoulinent et les tattoos »
Depuis un an et demi, Rakel élargit son aura artistique et ajoute une corde à son arc en réalisant les sculptures Malab’Art, qui sont la suite logique aux tableaux du même thème. On y retrouve les icones phares de la belle, à l’instar de Karl Lagerfeld, Michael Jackson, Steeve Mcqueen, Coco Chanel, Picasso ou encore Marilyn, Basquiat et Kate Moss qui se situent au centre de chaque sculptures et indiquant le goût du Malab’Art. Ce dernier né de l’esprit créatif de Rakel représente un condensé de ce qu’elle veut propager : un objet à l’identité forte reprenant ses inspirations majeures, flirtant entre un aspect nostalgique lié à l’enfance et l’ADN contemporain de la réalisation. A noter que les Malab’Art se déclinent en plusieurs taille du Baby Gum au Bubble Gum XXL. Le plus ? Pour les formats les plus petits, la morsure de la sculpture n’est autre que l’empreinte des dents de Rakel, ce qui permet une double signature artistique unique et génétique ! Cette œuvre en édition limitée a d’ores et déjà séduit maintes collectionneurs et voyage ainsi de Paris à New-York en passant par Tel-Aviv au même titres que Rakel qui est exposée depuis plusieurs années dans des galeries prestigieuses à travers le monde.
Une invitation sensorielle jouant autant sur la vue, le touché et l’olfactif puisque la résine qu’elle utilise pour ses sculptures est imprégnée de l’odeur du malabar qui embaume son studio de création. Le résultat est sans appel : telle la madeleine de Proust, ses sculptures plongent en enfance les plus téméraires et transportent dans les souvenirs chérubins des plus émotifs. Une démarche unique qui laisse prédire un succès sans précèdent à cette artiste française.
Si on peut retrouver les œuvres de Rakel à Paris Place des Vosges (Ariel Jakob), Lyon (Celia Guedj) ou à Saint-Tropez (Art Life), sachez qu’elle est présente également à Tel-Aviv à la Galerie 21, ce qui vient s’ajouter à New-York et Miami (Lulu Labotorium dans le Wynwood District, véritable fief du Street-Art), repères des aficionados d’Art Contemporain. De quoi voyager à travers l’espace et le temps sans conteste ! To be continued